Re: Dériveur à un prix abordable neuf
Publié : 06 janv. 2010, 15:24
Pour le Sunfish, il faut s'adresser à Marçon yachting à martigues, c'est lui le vrai importateur,ou chez Paris voile ou encore à direct Sailing Gourmez fait Laser à cause des accords commerciaux Laser Dart , mais on vrai job c'est a cata, il n'a rien à foutre du dériveur...
Pour ce qui est des gens qui n'y connaissent rien et qui lancent un délire inabouti c'est très vrai, mais quand on fait le compte à l'arrivée c'est différent....
les dériveurs à succès ont en général eu des concepteurs pas trop neu neux
Le Vaurien: Herbulot, ex crack du star y compris en régate olympique + toue l'expérience des monos de socoa (sur le dionghy herbulot puis l'argonaute) et des Glénans
Le 420: Deux moniteurs nationaux de haut vol (Latxague et Lehoerff, à socoa) qui font un cahier des charges réfléchi et intelligent, un technicien de bon niveau qui dessine le boat et pour finir un bon régatier national de caneton , du genre pinailleur (Francis Mouvet) qui prend le temps de tester et de fignoler(super important).
le Cinquo: Un archi pas manchot (westell) mais surtout des tests de sélection olympiques contre le FD , mais aussi des trucs considérés comme bons à l'époque (canetons restriction , Osprey)
mais quand même un cran en dessous et une pléthore de bons barreurs pour améliorer le bestiau.
Le 470 : Un architecte (Cornu) pas nullard en caneton , qui ^pouvait capitaliser sur tous les essais des canetons restriction +ou moins aboutis+ une pléiade d'ex régatiers de 420 (un peu trop bidulistes d'ailleurs)
Le Laser : un designer industriel de haut vol mais surtout deux médaillés olympiques de très haute volée (le trio Ian Bruce , Bruce Kirby ; Hans Fogh) qui se sont penchés sur le bateau du pauvre avec un oeil neuf et surtout le temps d'en faire un produit abouti...en acceptant de renoncer à la voie trop facile du tuning, des matériaux de pointe
A côté , un designer moyen associé à un voileux moyen produit en général un bateau très moyen qui aura un succès moyen en période euphorique et nul en période de vaches maigres et même dans certains cas des pseudo bons (Nottet et finot) peuvent produire une bouse....(le Wizz)
Seule exception , mais là on n'est pas dans la performance , le sympathique zef de Mr Nivelt, un promeneur plaisancier à l'esprit pratique très développé qui a fait un bateau sans prétention , avec quelques limites de qualités (mât faiblard et accastillage très succint) mais immensément pratique et au succès justifié
Pour ce qui est des gens qui n'y connaissent rien et qui lancent un délire inabouti c'est très vrai, mais quand on fait le compte à l'arrivée c'est différent....
les dériveurs à succès ont en général eu des concepteurs pas trop neu neux
Le Vaurien: Herbulot, ex crack du star y compris en régate olympique + toue l'expérience des monos de socoa (sur le dionghy herbulot puis l'argonaute) et des Glénans
Le 420: Deux moniteurs nationaux de haut vol (Latxague et Lehoerff, à socoa) qui font un cahier des charges réfléchi et intelligent, un technicien de bon niveau qui dessine le boat et pour finir un bon régatier national de caneton , du genre pinailleur (Francis Mouvet) qui prend le temps de tester et de fignoler(super important).
le Cinquo: Un archi pas manchot (westell) mais surtout des tests de sélection olympiques contre le FD , mais aussi des trucs considérés comme bons à l'époque (canetons restriction , Osprey)
mais quand même un cran en dessous et une pléthore de bons barreurs pour améliorer le bestiau.
Le 470 : Un architecte (Cornu) pas nullard en caneton , qui ^pouvait capitaliser sur tous les essais des canetons restriction +ou moins aboutis+ une pléiade d'ex régatiers de 420 (un peu trop bidulistes d'ailleurs)
Le Laser : un designer industriel de haut vol mais surtout deux médaillés olympiques de très haute volée (le trio Ian Bruce , Bruce Kirby ; Hans Fogh) qui se sont penchés sur le bateau du pauvre avec un oeil neuf et surtout le temps d'en faire un produit abouti...en acceptant de renoncer à la voie trop facile du tuning, des matériaux de pointe
A côté , un designer moyen associé à un voileux moyen produit en général un bateau très moyen qui aura un succès moyen en période euphorique et nul en période de vaches maigres et même dans certains cas des pseudo bons (Nottet et finot) peuvent produire une bouse....(le Wizz)
Seule exception , mais là on n'est pas dans la performance , le sympathique zef de Mr Nivelt, un promeneur plaisancier à l'esprit pratique très développé qui a fait un bateau sans prétention , avec quelques limites de qualités (mât faiblard et accastillage très succint) mais immensément pratique et au succès justifié